Critiques et tests

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  • 03/01/2021
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 3 ans.
    2 personnes sur 3 ont trouvé cette critique utile.
    Le 6 août 2012 Curiosity foulait pour la première fois le sol de Mars, et l'Humanité commençait son expansion à travers le système solaire. 700 ans plus tard notre civilisation est au bord du gouffre. Recroquevillée sur elle-même, l'espèce humaine fait face à son extinction dans une dernière citée habitée sur Terre. Tel est le contexte dans lequel nous plonge Destiny. Les promesses sont nombreuses au travers de ces quelques lignes. Qu'est-ce qui peut motiver une si rapide expansion dans les étoiles, à l'heure où les enjeux spatiaux sont relégués loin derrière nos problèmes économiques ? Quelles furent les déclencheurs ? Comment s'est organisé la société autour de ces nouveaux enjeux ? A quoi s'est heurtée l'humanité durant son voyage ? Autant de questions que le fan de science-fiction peut s'attendre à voir traiter. Avec un budget pharaonique d'un demi-milliard (en comparaison, GTA V et le film Avatar avaient l'un comme l'autre deux fois moins de ressources financières) , le projet du studio Bungie, créateur de Halo, édité par Activision Blizzard avait les moyens de créer un univers incroyable.

    Force est de constater que de ce côté le jeu n'ose répondre à aucune de ces interrogations, en livrant une histoire quasi-inexistante et largement entrecoupée par des séquences de gameplay très - trop - longues lorsqu'on les ramène au ratio temps d'histoire/temps de gameplay. Face à cette première désillusion, j'ai persévéré dans ce monde en espérant être émerveillé lors de mon voyage. Outil formidable d'exploration du présent et de spéculation sur l'avenir, la science-fiction est une porte vers la réflexion et/ou le rêve. Si Destiny se refuse à traiter des questions politiques et sociétales que le genre propose habituellement en livre ou au cinéma, je vais bien trouver du réconfort avec la découverte des planètes de notre système solaire. Mais là encore mon aventure se révélera être appauvrie par l'absence d'innovation. De la Lune avec son ancienne station minière, en passant par Mars et ses structures presque humaines, jusqu'à Vénus et ses ruines superbes mais linéaires ; les environnements de Destiny ne parviennent jamais à me provoquer un sentiment d'émerveillement. Propres visuellement, ceux-ci se bornent à me proposer une recette maîtrisée mais déjà bien éculée. Le bestiaire non plus ne s'éloigne pas du conformisme dont fait preuve la direction artistique. Pire même, certaines factions semblent tout droit sortie d'un film de Luc Besson (certaines entités de la Cabale ne sont pas loin de rappeler le Cinquième Elément) .

    Las, l'expérience aurait pu se conclure par un somptueux échec s'il n'y avait pas le gameplay pour sauver l'honneur du titre. Fort de ses années d'expériences sur Halo, le studio en reprend l'essence en l'agrémentant d'un aspect coopératif. A des années lumières du MMOFPS avec ses cartes instanciées (conséquence probable de la limite des consoles de l'époque) , Destiny propose néanmoins de croiser de parfaits inconnus dans les terres désolées comme dans les lieux de repos, ainsi qu'une large gamme de contenu pour un groupe d'ami désireux de vivre une aventure commune. Mieux, les raids, qui se décomposent en plusieurs étapes avec une strat propre à chacune d'elle et des patterns à apprendre, dont la difficulté va crescendo, jouables à 6 joueurs, sont aussi exigeants qu'amusants. A cette déconvenue près que les nombreux glitchs viennent en gâcher l'aspect concurrentiel, et que la course à l'équipement ne plaira qu'aux amoureux du grind hardcore.


    « Nous voulons que les gens perçoivent l'univers de Destiny au même titre que celui du Seigneur des Anneaux, Harry Potter ou Star Wars. »
    Pete Parsons, directeur de studio chez Bungie
    Finalement, cette phrase prononcée en 2013 résume peut-être à elle seule l'échec d'un studio qui n'aura pas su atteindre ses ambitions. Pire même. Au regard de l'absence d'innovation véritable dans la création de l'univers et d'un gameplay qui s'appuie sur des mécaniques créées depuis longtemps, la proposition de Destiny premier du nom ne me semble pas correspondre à l'idée que l'on se fait d'un jeu disposant d'un demi-milliard de dollars pour sa conception. Quant à savoir d'où cet échec tire sa genèse, il est probable que nous n'en aurons jamais les tenants et aboutissements. Néanmoins, si l'histoire démontre des tensions entre le studio & l'éditeur (on se souvient notamment du différent entre Marty O'Donnell, compositeur historique du studio siégeant au conseil d'administration,  et Activision lors de l'E3 2013 se soldant par le licenciement de celui-ci) , c'est à Bungie lui-même et à son incapacité à régler les dissensions avec ses écrivains que l'on doit la pauvreté du scénario et une si mauvaise conception de l'histoire. Entendons-nous bien, le jeu de Bungie oscille entre le moyen et le très bon et certaines de mes 600 heures passées dessus ont été géniales, mais l'on ne peut que regretter un classicisme trop visible. D'autant plus que le studio avait toutes les cartes en main pour faire de Destiny une œuvre de référence du genre, et le début d'une franchise à succès.
    Publié le 02/01/2021 14:56, modifié le 03/01/2021 12:29
    2 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 18/07/2021
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 3 ans.
    3 personnes sur 3 ont trouvé cette critique utile.
    1972, dans une prison américaine. A Way Out nous fait suivre le récit de Leo et Vincent, deux personnages que l'on croirait extirpés d'un film de gangsters des années 70, que chaque joueur aura le choix d'incarner au fil de l'aventure. Les deux taulards vont se rencontrer totalement par hasard et se découvrir un but commun : s'évader. En raison de cette rencontre fortuite et de l'espoir naissant qui en découle, nos deux protagonistes vont partager leurs ressources propres afin de tenter de s'extirper de cette cage aux barreaux d'aciers.

    C'est à un certain Josef Farès que l'on doit le scénario et la réalisation d'A Way Out. Déjà à l'oeuvre dans Brothers: A Tale of Two Sons, le leitmotiv du monsieur se dessine clairement lorsqu'on regarde ses oeuvres passées et celles à venir : le jeu en coopération. Dès lors, il n'est pas étonnant de découvrir que A Way Out ne déroge pas à la règle et propose de jouer à une campagne uniquement en coopération (locale ou en ligne) . Mieux. L'écran splitté dynamique et omniprésent revêt une importance particulière pour l'expérience coopérative. En permettant d'apprécier en permanence les actions de son partenaire et de lui venir en aide si nécessaire, A Way Out nous plonge pleinement dans cette aventure. Plus prosaïquement, nos réflexions participent autant que nos actions à notre but commun, et l'on se surprend à vivre l'évasion comme si nous y étions.

    Cette immersion, renforcée par l'amitié naissante entre les deux protagonistes, une musique certes discrète mais servant bien l'action et un rythme évitant l'ennui, font du titre une excellente expérience narrative, et une habile proposition coopérative. Bien que n'offrant que peu de liberté dans les actions, la force des transitions et les plans très cinématographiques l'emportent à mon sens sur le dirigisme du titre pour faire de A Way Out bien plus qu'un jeu vidéo : une oeuvre qui mélange à merveille les genres pour devenir vectrice d'émotions. Un must-have à découvrir avant la prochaine itération de Josef Farès et du studio Hazelight à venir : It Takes Two.
    Publié le 31/12/2020 16:04, modifié le 18/07/2021 14:12
    3 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 07/11/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.
    Bon ben fallait bien que ça arrive, j'ai désinstallé. Une conjoncture de trucs qui font suer et là, plus de patience. J'adorais ce jeu, j'y ai mis le temps, mais là bon. Le pourcentage de parties sans intérêt crève le plafond.

    Une partie sur 10 est un peu disputée, tout le reste c'est du stomp avec un niveau de jeu abyssal.
    Et le problème des gens qui jouent mal, c'est qu'ils flinguent toute la structure des parties en transformant tout schéma tactique en roulette russe.

    Quatre contre deux, c'est jouable ? Ben, en fait non, parce qu'en réalité, tu es solo contre trois, au premier coup de canon tes équipiers fuient sans raison et deux adversaires spottés par personne te tombent dessus pour se rajouter au surnombre.

    Et le pire, c'est que même à un contre quatre, les mecs sont tellement mauvais que tu arrives souvent à en emporter un ou deux avec toi.

    Mais franchement, à ce niveau là, autant faire un Battle Royale et ne plus mettre d'équipe. C'est comme mixer des internationaux et des poussins aléatoirement dans une équipe de foot. Toute partie est un bordel indescriptible dont ne peuvent se satisfaire que des personnes extrêmement médiocres dans leurs aspirations ludiques.

    Le coup de grâce pour moi, j'ai farmé un Ohio en points de recherche et en gold aussi tellement le farm est imbuvable et long... Le rafiot est moins bon à jouer en Random qu'un Thunderer que tu choppes pour une poignée de charbon. J'ai pris très cher avec, mon pire WR/PR de tous les tier X

    J'ai demandé au service client s'il n'y avait pas moyen de faire un échange... pour un vieux client de cinq ans qui a fait la bêta. La réponse en gros : va te faire foutre, t'avais qu'à faire gaffe.

    Bon, voilà qui clôt définitivement mes contributions financières à la Biélorussie.
    J'ai une conception de l'industrie de service un peu trop old school pour ces gens là.
    Publié le 07/11/2020 13:21, modifié le 07/11/2020 19:38
    3 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 03/11/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    J'ai énormément apprécié Star Wars Galaxy of Heroes, j'y ai passé un nombre d'heures incroyables.
    Le fait est qu'il faut bien identifier deux périodes, très différentes dans leur approche :
    - Celle de mes débuts de la fin 2016 jusqu'à la mi 2018 ;
    - La période actuelle courant de l'été 2018 à nos jours.
    La faute à un changement de game director, et un changement notable dans la politique de monétisation du jeu.

    Commun aux deux périodes :
    Un jeu riche et très complet. Beaucoup de petits détails mécaniques et de subtilités à comprendre pour maîtriser le gameplay.
    D'un premier abord presque simpliste, il est en fait très riche, et tout au long du "leveling" qui prend plusieurs mois tout de même, on découvre beaucoup de modes de jeu, attractifs, variés et vraiment sympa. 
    Graphiquement jolie, la collection de personnages proposés est immense. Au début, on peut avoir le sentiment qu'on ne débloque rien avant des mois, c'est sans compter qu'à partir d'un certain moment, les personnages se débloquent vraiment vite en les collectionnant depuis plusieurs modes de jeu.

    Phase 1 :
    On s'y éclatait à proprement parler, malgré une monétisation intense (F2P) : l'astuce, la sociabilisation (guilde, chat d'arène, etc.) et la pugnacité pouvaient remplacer le porte-monnaie sans problème.
    Cela rendait le jeu encore plus passionnant (et le jeu m'a fait découvrir Discord ) .

    Phase 2 :
    Un parfum de déclin, peut-être dans les téléchargements, mais surtout de direction financière. Le jeu a intensifié le besoin de passer à la caisse à coup de centaines d'euros pour rester compétitif, prenant exemple sur ses concurrents plus récemment sortis, donnant une (fausse ? ) impression de fin précipitée. Drôle de choix. On parle quand même d'un jeu, où même en investissant 100 euros par mois, on ne pourrait plus rester compétitif (comprendre : arène, débloquer les nouveaux personnages, etc.) . Je ne parle pas du G13 indispensable dans tous les modes de jeu, ou les prérequis en puissance fixes pour entrer dans les events, a contrario de la "phase 1".
    Un équilibrage totalement secondaire, rendant encore plus obsolète 99 % des 150 personnages proposés. Dommage !

    D'une note de 9 sur 10 pendant les deux premières années, le jeu mérite difficilement plus que la moyenne aujourd'hui, vu que la diversité a disparu dans tous les modes de jeu, la monétisation est devenue elle aussi trop intense et grossière pour être supportable.
    Publié le 03/11/2020 15:54, modifié le 03/11/2020 15:57
  • 20/10/2020
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 4 ans.
    Après avoir testé l'Alpha sur PlayStation puis la bêta sur PC, mon verdict est simple : très, très déçu de ce nouvel opus.

    LES MOINS :

    * Un graphisme à l'ancienne ;
    * Une impression de lourdeur sur les sprintes (ça n'avance pas) ;
    * Une maniabilité au ralenti (il suffit de jouer sur la bêta de Call of Duty Cold War quelques temps puis revenir sur la version précèdente pour voir le massacre de cette nouvelle version) ;
    * Une ergonomie des menus complètement différente ;
    * Tirer sous l'eau ! Quelle idée !

    LES PLUS :

    * Les nouvelles Maps (surtout sur l'eau) ;
    * L'identité sonore des armes est remarquable ;
    * Une ambiance sonore (ambiance, musque au top) ;
    * Les séries d'éliminations ;
    * Un paquet d'options qui ne sont plus possibles (ouvrir les portes, prendre appui sur un mur pour tirer...) .

    Une belle impression d'avoir fait un énorme pas en arrière dans le monde cruel du jeu vidéo. Maintenant, une fois prise l'habitude des lenteurs de maniabilité sur Call Of Duty Cold war, il vous sera impossible de revenir sur Call of Duty: Modern Warfare tellement la sensibilité est différente.

    Bilan général : je ne suis plus fan du tout et je regrette ma précommande mais promis, je ne me ferai pas avoir deux fois.
    Publié le 20/10/2020 15:11, modifié le 20/10/2020 15:15
  • 22/09/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.
    Par Namphar
    Ayant joué environ 10k batailles de 2013 à 2016, j'avais apprécié ce jeu pour ses dimensions tactiques, stratégiques et son gameplay apportant de la diversité aux fps classiques (Counter-Strike et autres) , le tout dans un jeu f2p correct.

    Finalement j'ai repris le jeu depuis quelques semaines avec 1k batailles au compteur.
    Premier constat : meilleurs graphismes, plus grande variété de cartes et plusieurs modes batailles apportant de la diversité appréciable. Sans compter de nombreux nouveaux tanks.
    Deuxième constat : Les obus gold et compte premium ont toujours apporté du déséquilibre, mais leur impact restait limité, les tanks gold n'étant généralement qu'une copie du tank d'origine. Aujourd'hui les comptes premiums sont quasi-indispensables, mais également les obus gold, consommables prenium, équipements premium, et que dire des récents tanks premiums aux caractéristiques quasi-absurdes par rapport aux tanks standards.
    Constat amer pour ma part : sorts ta carte bleue ou va jouer à autre chose. Je prends la seconde option.
    1 personne a trouvé cette critique utile.
  • 17/09/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    1 personne sur 2 a trouvé cette critique utile.
    Ne pas chercher les points faibles d'un blindage, ça ne sert à rien : si vous venez de cracher un maximum de monnaie, votre succès est assuré pendant un certain temps.
    Si vous ne payez pas vos tanks, le curseur est sur "épave roulante", vous vous faites défoncer, votre tank n'avance plus, il vous faut trente obus perforants de dos pour égratigner les blindages. Vos tirs partent n'importe où, les compétences virent à zéro.
    Les réglages ne servent à rien il n'y aucune intelligence dans la pixellisation des points faibles, il n'y a aucun point de structure, c'est du bidon !  
    Plus vous payez, plus ça explose, rien à voir avec vos talents, ne rêvez pas ! La preuve en plus est que la qualité des images a augmenté certes, au détriment de la qualité de gestion des logiciels et serveurs qui ne pourraient pas gérer l'efficacité réelle des tirs en un milliardième de seconde, sur un jeu en ligne qui plus est.

    CQFD !

    Ce jeu devrait être interdit car on vous dit que vous pouvez régler votre tank à votre convenance avec un peu d'argent, mais cela ne dure pas et votre tank se met à ramer sur tous les plans, [...].
    Le bouquet, c'est de tirer cinq obus perforants à bout portant sur le premium SKORPION sans égratignure.
    Ce jeu est un fake, je recommande d'attendre un jeu équivalent en Europe car la Biélorussie est en marge de la législation européenne.
    1 personne a trouvé cette critique utile.
  • 15/09/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    1 personne sur 2 a trouvé cette critique utile.
    Par Bresse
    N'INSTALLEZ PAS CE JEU POURRI.

    Ce jeu était super pendant deux ans, quelques chars premium (payants) mais le niveau restait équilibré. Avec le temps c'est devenu une usine à fric et c'est de pire en pire. Les chars non premium pas trop mauvais sont modifiés pour ne plus faire le poids face aux chars premiums (payants) . Exemple, l'ARL 40 avec son canon de 105, un plaisir et un jour, plus de 105 mais un 90 bien nul, bilan un char lent, mal blindé avec un canon nul = on ne le joue plus.
    Aujourd'hui, quelque soit le niveau, on tombe sur des chars payants qui vous écrasent et que vous ne percerez pas. Le mode courant est de jouer contre des adversaires qui paient de deux niveaux supérieurs.
    En gros, vous attaquez un char avec un ouvre boîte et lui vous détruit au plus en deux coups au plus.
    En plus lorsque vous payez, vous pouvez jouer non seulement avec des chars beaucoup plus puissants mais en plus vous obtenez des améliorations que les autres n'ont pas.
    Si on a pas 100 euros à mettre chaque mois, ça devient du tir au pigeon.
    Pour ma part, je désinstalle sans regret.
    1 personne a trouvé cette critique utile.
  • 11/09/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    3 personnes sur 3 ont trouvé cette critique utile.
    World of Tanks a été un très bon jeu, en 2010 et jusqu'en 2014. Là, depuis 2015 jusqu'à 2020, le jeu est brisé avec toutes les modifications et les tanks qui sont en papier, alors que les gens dépensent de l'argent réel. Trop de maps avec des murs invisibles, on ne peut même pas y aller avec un tank. Et il n'y a pas de jeu en équipe : tout le monde joue en solo. Dans le temps, entre 2010 et 2014, on jouait en équipe. En 2020, ce n'est plus le cas. Au niveau du gameplay, on pourra critiquer la balance trop mal équilibrée...
    Et le jeu n'est plus en français. Ils ont décidé de fermer la langue française, comme ça (2020-09-10) . Voici le message de WoT :

    Thank you for contacting Wargaming NA support
    Unfortunately, we are no longer supporting the French language in the NA region of the game and for this reason, it has been removed from the "Game settings" of the WGC.
    I sincerely apologize for this inconvenience and hope this does not detract from your World of Tanks experience.
    If you have more questions, please feel free to contact us again.
    Kind regards
    J'ai fait un ticket sur le jeu pour me faire rembourser. Je n'ai pas reçu mon remboursement. Et ils m'ont banni deux fois du jeu parce que je suis français. Alors attention à vous, n'allez pas jouer à ce jeu et vous plaindre.
    Publié le 11/09/2020 04:44, modifié le 11/09/2020 04:46
    3 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 28/01/2021
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 3 ans.
    7 personnes sur 11 ont trouvé cette critique utile.
    Par BAKHA78
    Après avoir joué pendant plusieurs années à ce jeu, je ne savais pas qu'on pouvait tricher et que certains joueurs étaient privilégiés. Il existe plusieurs modes et ce mode de triche permet de donner des avantages aux joueurs. Cependant, WoT ne fait rien pour éviter que les joueurs puissent tricher et de mettre en place des mods qui leur donnent un peu plus d'avantages. Donc je trouve que World of Tanks est une arnaque et qu'il privilégie certaines nations plus que d'autres. Ce sont [...] et des manipulateurs, donc je trouve que ce jeu est complètement absurde, aussi j'aimerais dire aux jeunes de ne pas dépenser leur argent pour ce type de jeux car vous vous faites manipuler et sachez qu'il existe, et je le redis, des tricheurs sur ce jeu et que certaines nations sont privilégiées. Voilà ce que pense de ce jeu. Et l'équilibre des batailles est totalement truqué.


    World of Tanks est un jeu tout simplement décevant. Les mécaniques de jeu n'ont de cesse de pousser à l'achat de chars premium ainsi que de consommables inaccessibles aux communs des joueurs voulant progresser. Pour ce qui est du matchmaking, il est tout bonnement exécrable. Il est possible de se retrouver dans des parties de rangs bien supérieurs et de ne simplement pas pouvoir jouer (sauf si le joueur achète des chars sur la boutique ou équipe des obus dits golds, à un prix empêchant toute progression pour tout joueur n'ayant pas de compte premium) . Pour moi, ce jeu est et restera horriblement mauvais, malgré les nombreuses heures de jeu passées sur celui-ci.
    En conclusion, si vous comptez jouer à World of Tanks ou que vous y jouez (pauvre de vous) , déjà, gardez à l'esprit que le jeu promeut le "pay or die", ce qui le classe définitivement dans la catégorie des pay to win les plus infâmes...

    [...]
    Publié le 19/08/2020 12:53, modifié le 28/01/2021 10:04
    7 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 23/07/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    Par Albrolke
    Je joue à SMITE depuis sept ans, tous les jours ou presque, et les weekends de 10h à 23h. Je peux affirmer que c'est le jeu de ma vie sans aucun doute, j'ai joué à plein de MOBA, LoL, Dota2, Arena of Valor, etc., aucun d'eux ne m'a donné les sensations de Smite. Le jeu est excellent et bizarrement décrié, je vois beaucoup de gens le critiquer sans y avoir même joué une heure, ce qui me déçoit car le jeu mérite vraiment mieux que des préjugés.

    Le skill cap est élevé, tout comme un autre MOBA, la connaissance du jeu est primordial, et la vision de jeu tout aussi importante que sur les autres Moba. Les personnages sont classes, jouer des dieux quand même... Les skins quant à eux, à part certains vieux, sont excellents et font rougir ma CB, on ne va pas se le cacher.
    Je le conseille à tous mes amis et pour la plupart, ils finissent comme moi, à y jouer nuit et jour sans pause. Rien que ce mois (celui où j'écris ce message) , j'en ai ramené trois, et avec deux d'entre eux, on y joue ensemble h24, je ne pourrai que conseiller le jeu qui pour moi mérite autant que LoL ou Dota.
  • 14/07/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    2 personnes sur 6 ont trouvé cette critique utile.
    Je vais tenter de faire précis, on trouve sur Internet de nombreuses critiques négatives du jeu, voire rageuses et frisant carrément la théorie du complot par moment (si, si ! ) . J'ai 14 000 parties à mon actif en sept ans, une bonne expérience, j'ai un garage de 110 chars et j'ai aussi fait de grandes pauses dans ce jeu. Voici donc mes constatations :

    1- Wargaming est une entreprise, les accusations autour de l'argent sont illégitimes, une entreprise est là pour gagner de l'argent, ceux qui le nient sont ridicules, voire malhonnêtes,

    2- Un compte premium n'apporte que du confort, progression plus rapide, plus de ressources, ces comptes ne sont pas avantagés ou avec plus de chances de vaincre,

    3- Ceux qui ont de mauvaises statistiques n'ont pas compris le jeu, parfois même après 40 000 batailles, j'en croise souvent, voir le chapitre sur les rageux,

    4- le matchmaking ne prend pas en compte le niveau des joueurs, aussi, ou vous tombez avec les bons = victoire, ou vous tombez avec les moins bons = raclée, toutefois dans une certaine mesure, avec le bon char vous pouvez parfois peser sur la partie,

    5- le matchmaking est aussi mal pensé (jusqu'à + 2 niveaux) , il serait plus juste de jouer maximum en -1 +1,

    6- beaucoup de joueurs n'ont pas compris le concept de chars métas, il y a en effet des chars naturellement meilleurs que d'autres, et AUSSI que chacun d'entre nous a dans sa main... ou pas. Jouer un char méta dans son rang donne de plus grandes chances de gagner, pour comprendre, il est important de se pencher sur l'équipement, les équipages, les éléments des chars, dont le blindage, les munitions, la puissance des canons, le rechargement, etc.

    7- ces chars métas ne sont pas forcément des chars premiums, certains d'entre eux sont mêmes mauvais ou très mauvais !

    8- jouer à l'obus apcr n'apporte qu'une chance supplémentaire de percer les blindages, c'est un jeu normal très pratiqué par les joueurs plus anciens et jouant des chars premiums ou des chars de haut rang surtout à partir du rang VI et encore plus à partir du rang VIII, la vieille rancoeur contre les "obus golds" est tout à fait caduque, ce ne sont pas les débutants qui jouent avec ces obus.

    9- caduques et ridicules aussi les plaintes de joueurs de haut rang ne supportant pas... les artilleries, pourtant difficiles à jouer, apportant un score de WN8 inférieur à leurs chars lourds et moyens (raison pour laquelle ils ne les jouent pas...) , et qui blessent mortellement leurs égos ! En tenant compte du nombre de cartes presque impossibles à jouer en artillerie, notamment les cartes densément urbaines, trop petites ou ne laissant que de rares endroits pour se cacher et tirer, les artilleurs expérimentés savent donc que c'est un jeu peu aisé et demandant vraiment de la patience, bien moins rentable par ailleurs que le jeu d'élite mené par les joueurs geignards en question. Certains, comme un youtubeur francophone connu a même quitté le jeu pour ces raisons... pathétique !

    10- les plaintes d'arnaques ou de radinerie contre wargaming sont aussi très peu justifiées, en premier lieu la firme a toujours donné des cadeaux, petits chars au jour de l'An, petits cadeaux ou chars anniversaires pour votre ancienneté, même si vous n'avez pas investi un kopeck dans le jeu et organise des événements ou tous peuvent gagner un quelque chose très régulièrement,

    11- des joueurs rageux nombreux traînent sur le net pour exprimer leur frustration, il est drôle et parfois même triste de voir que certains qui ont investi beaucoup d'argent dans le jeu, parfois sans le dévoiler, se plaignent de ne pouvoir gagner plus de batailles ou de ne pouvoir élever leur niveau. [...], si payer à WOT avait été le moyen de gagner à coup sûr, nous aurions beaucoup plus de joueurs au WN8 supérieurs à 1 500 ou 2 000. En réalité ces joueurs sont sur le serveur Europe, environ 8 % du total général de tous les comptes jamais créés, 15 % si l'on ajoute les joueurs classés bons... C'est comme dans tout, vous avez des joueurs d'exception, c'est ainsi, doué pour cela, et la masse des autres, dans toutes les disciplines, sports ou jeux, on observe cette tendance, l'argent lui ne vous fera pas mieux jouer !

    12- la communauté est le plus gros point faible du jeu World of Tanks, constituée de joueurs de pays de l'Europe de l'Ouest ou Centrale, d'enfants de 8 ou 9 ans, à des vieux briscards de 60 ans. On y trouve un anti fairplay très fort, qui a été encouragé même par Wargaming par certaines facettes (en permettant pendant des années des alliés à se tirer dessus et à s'endommager par exemple) , WOT est un jeu de consommation rapide, vous y trouverez des comportements qui vont avec : "pousse toi de là que je m'y mette", "pousse toi de là je passe", "tu m'as volé mon kill ! " comme si dans une équipe de football, un joueur de l'équipe allait pleurer voire mettre une claque à son coéquipier qui lui aurait "volé son but". On peut recevoir aussi de nombreuses insultes, un certain racisme et antisémitisme est l'adage de certains membres de la communauté, vous pouvez recevoir des messages affreux, des insultes, sur comment vous allez être tué dans la vraie vie, comment vous allez brûler dans un four, sans parler d'une francophobie non négligeable de la part de joueurs venus de Pologne et de Tchéquie, avec tout son lot d'insultes ou propos dégradants sur la France et les Français, d'une propagande qui les déshonore il est vrai issue et née après notre abandon de ces pays dans les prémices de la Seconde Guerre mondiale (accords de Munich 1938, l'arme au pied au presque de la Drôle de guerre 1939) ,

    13- vous l'aurez compris, Wargaming donc est une entreprise, elle n'a pas les moyens de faire la police entre les joueurs, aussi la fonction plainte est-elle là juste pour soulager vos états d'âmes. Elle est de toute façon utilisée par des milliers de joueurs à mauvais escient : vous signalant comme bot parce que vous avez mal joué, comme antisportif parce que vous l'avez tué, ou parce que vous avez descendu un ennemi avant lui... Totalement ingérable, la solution existe toutefois dans des outils de paramètres : je conseille 1- désactivez le chat des alliés en bataille, 2- désactivez la fonction recevoir des messages de joueurs qui ne sont pas dans votre liste d'amis. Reste toutefois la possibilité de tirer sur les alliés sans dommage, fonction qui incite encore des "hurluberlus" à vous tirer dessus en début de bataille, que Wargaming devrait retirer, ou encore la possibilité de pousser des alliés, la moindre de ses actions appuyées, entraînant la perte d'un allié dans une bataille devrait être accompagné d'un bannissement progressif dans le jeu, mais sévère, 1 jour de bannissement, 15 jours, 1 mois, suppression du compte au 4e méfait. Ceci en terminerait définitivement avec l'antijeu.

    14- la triche, mods et multicomptes, tout cela était interdit dans les versions précédentes, aujourd'hui pour des raisons commerciales, mods et multicomptes ont été validés, mais les mods sont une façon de tricher... et pas des moindres, informations complémentaires, chars détruits qui deviennent bien visibles et blancs, végétation qui disparaît, informations des positions et déplacements, vision des déplacements, aide au tir et aide à toucher un char ennemi, et j'en passe. Venus de Russie, royaume des pirates, puis de Pologne et des pays de l'Est, beaucoup de joueurs usent de mods de triches, particulièrement dans les hauts rangs, à partir des rangs VIII surtout. Il faut se dire une chose, si vous avez des résultats normaux, votre niveau est bien supérieur, puisque vous affrontez des gens qui sont assistés... vous êtes donc dans le vrai et bien mieux entraînés en réalité ! Combien sont-ils ? En Russie des milliers et des milliers, dans les pays de l'Est aussi, difficile à dire le pourcentage total des joueurs, 50 % avec des mods autorisés ? 5 ou 10 % avec des mods de triche éhontée ?

    15- la course à l'échalote : c'est de faire croire aux joueurs, et c'est là l'intérêt du business plan de Wargaming que le nec plus ultra... c'est les rangs VIII, IX ou X : pour ce faire vous pourrez alors acheter des chars premiums très nombreux, 87 des 131 chars de rang VIII sont des premiums, à des prix  importants, 40, 50, 60 euros ! Mais aussi pour progresser, d'autres mettront la carte bleue à chauffer dans le fourneau, c'est un choix bien sûr rentable mais en réalité peu payant dans le jeu : 1- jeu avec les meilleurs joueurs, vous serez plus dépendants et servirez de chair à canons et de lapins dans beaucoup de parties, 2- plus de tricheurs, 3- chars moins rentables, 4- plus de joueurs jouant à l'apcr vous poussant à le faire aussi, donc à être encore moins rentable au niveau de la gestion des ressources de votre compte, 5- illusion du "j'ai un gros char, j'suis meilleur", 6- illusion du "j'ai le plus gros, j'suis fier", mais sans savoir en réalité se servir correctement de l'engin, 7- flatter votre égo de votre appartenance à une élite, il s'agit d'un jeu virtuel, redescendez sur terre !

    16- en réalité donc, il faut trouver vos chars, que vous avez en main, votre style et votre rang, votre niveau maximum potentiel et vous y tenir pour avoir des résultats dans ce jeu ! Quel est le niveau acceptable ? visez 50 % de victoire, une victoire pour une défaite, c'est honorable, en deçà quel intérêt ?

    17- Wargaming massacre des chars non premiums... à des fins commerciales essentiellement, ainsi sont devenus des chars minables les fameux KV 1S, Covenanter, Cruiser II, S35 CA, T 18 et tant d'autres ! Sachez donc savoir passer l'éponge pour découvrir les nouveaux chars métas du jeu, ils ne sont pas toujours premiums !

    18- WOT est un jeu non historique ou des chars de toutes les nations, affrontent d'autres chars de toutes les nations, sans logique.

    19- les fondateurs du jeu sont Biélorusses et Russes, certains chars soviétiques sont connus pour être meilleurs et d'autres au contraire désavantagés qui dominaient pourtant leur sujet à leurs époques historiques... Peu ou pas de chars historiques sont des chars métas dans ce jeu, ou beaucoup de chars imaginaires, prototypes ou marginaux sont représentés largement dans le jeu.

    20- Cette absence de l'histoire dans le jeu amène aussi d'autres défauts, arbres technologiques incomplets, incohérents (au niveau des rangs) , un découpage en chronologie historique aurait été intéressant, plus intéressant avec un panel plus large de rang, du 0, époque de la Première Guerre mondiale au rang 12 époque de la fin de la Guerre Froide par exemple.

    21- Les clans n'apportent en réalité que peu d'interactions intéressantes du fait d'un jeu essentiellement solitaire, mais les pelotons ont leur intérêt, la dimension des clans est ce qui a été le plus mal géré par Wargaming dans le jeu.

    22- la maturité du jeu rend aussi le côté marketing événementiel trop dispersé, trop d'événements, trop de directions, mais des évolutions constantes qui sont aussi un point fort, la firme, même en prenant de mauvaises décisions, reste au moins en mouvement.
    2 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 21/04/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    Dernière mouture de Ninja Theory, le studio derrière l'excellent Hellblade: Senua's Sacrifice, Bleeding Edge se voulait être une expérience multijoueur accessible. Malheureusement, à vouloir être trop accessible, le jeu en perd toute profondeur et ne procurera aucun plaisir chez le joueur. En effet, l'utilisation des attaques se résumant à martyriser vos trois boutons et l'auto-lock permanent (asphyxiant le désir de viser et d'anticipation) sont la traduction de la pauvreté du gameplay. A cela se rajoutent une absence totale de synergie entre les différentes classes et des personnages ne pouvant pas retourner la situation à eux seuls, ce qui a pour conséquence de scripter les affrontements entre les deux équipes de quatre joueurs, annulant par la même toute surprise et toute initiative individuelle possible.

    En bref, si les graphismes sont plaisants et que l'univers coloré fait mouche, le jeu pèche par son absence de gameplay. Ceci étant dit, le jeu étant disponible sur le Game Pass, je ne peux que conseiller d'y faire un tour pour juger sur pièce.
  • 27/04/2020
    Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.
    2 personnes sur 3 ont trouvé cette critique utile.
    S'il fallait encore présenter la licence, l'on pourrait dire que l'on doit à Halo la démocratisation du genre FPS sur console, grâce à un gameplay révolutionnaire qui inspire encore la plupart des FPS console actuels. Avec la « Sainte Trinité » arme / grenade / coup de crosse, des sauts lunaires, et la possibilité de ramasser les armes sur les cadavres ennemis, entre autres nouveautés, le gameplay réinventa totalement le genre, renvoyant ses aînés au rang de jeux des cavernes. Accompagnée d'un scénario solide, d'une IA performante, de graphismes époustouflants pour l'époque, et profitant de la naissance du Xbox Live, la licence Halo fut un véritable changement lors de sa sortie.

    Treize ans après, alors que la série n'est plus le system seller qu'elle eût été, l'idée de rassembler l'ensemble des jeux de la licence Halo, et de fait lier une communauté tout entière éparpillée sur les différents opus, était louable. Malheureusement, à cette louable intention vinrent se greffer de nombreux bugs, notamment sur le multijoueur, qui entachèrent la sortie de Halo: The Master Chief Collection et lui firent prendre un départ des plus mitigés et critiqués.

    Fort heureusement, aujourd'hui le mode multijoueur est stable à 100 % , profite des serveurs privés de Microsoft, et offre une expérience de jeu inégalée avec six jeux pour six méta différentes, des dizaines de modes et des milliers de cartes -- notamment grâce au mode forge propre à chaque opus. L'histoire, quant à elle, n'est pas en reste puisque avec Halo CE et sa version remastérisée, Halo 2 et sa version remastérisée, Halo 3, Halo 3: ODST, Halo 4 ainsi que Halo : Reach, ce sont pas moins de 56 missions qui sont proposées, pour une histoire qui s'étale sur des années entières sans fausse note. Et si cela ne suffisait pas, les challenges de temps, de points, les très nombreux easter eggs à trouver, ou encore les sélections LtouCa rendront le jeu interminable même pour les plus acharnés des chasseurs de succès !
    Publié le 21/04/2020 20:32, modifié le 27/04/2020 16:11
    2 personnes ont trouvé cette critique utile.
  • 12/03/2020
    Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 4 ans.
    1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.
    Quand j'écris que j'ai testé Aube des aigles jusqu'en 2016 cela ne veut pas dire que j'ai arrêté de jouer. Depuis 2016, ce n'est plus des parties test. Sa particularité est qu'un jour réel = un jour de guerre. Au fil du temps comme dit plus haut nous avons le choix entre prendre du matériel moderne ou accumuler de l'expérience sur du matériel plus ancien. Ainsi dans une partie j'avais un Arsenal VG 33 de 1940. Avec, en 44,   j'ai pu abattre des Focke-Wulf 190 A5 ou des Messerschmidt Me 109 G, certains sans tirer un coup de feu, l'avion ennemi se brisait en voulant suivre les évolutions du mien. Dans la partie actuelle, qu'il est encore temps de rejoindre,  nous sommes en Octobre 41. Si le jeu était au début exclusivement aérien, il y a maintenant une composante terrestre et navale avec un choix de matériels aussi riche que pour les avions. En tant que Japonais, j'attends avec impatience la première sortie opérationnelle du Yamato !

    Liste des pays majeurs (les pays mineurs sont soit dirigés par un pays majeur ou seront accessibles à des joueurs quand nous serons plus nombreux) :
    - Allemagne
    - Italie 
    - Japon
    - URSS
    - USA
    - Angleterre et Commonwealth
    - France (actuellement occupée, seule sa composante aérienne se bat sous les cocardes françaises, par simplification les autres corps sont sous pavillon britannique) .

    Liste des pays mineurs :
    - Finlande 
    - Hongrie
    - Roumanie
    - Belgique (occupée,   sous pavillon britannique)
    - Grèce (pareil que la Belgique)

    Il est possible de créer deux personnages : un pilote, responsable d'un groupe aérien avec des pilotes PNJ, et un officier soit d'état major (pas de panique, ce n'est pas difficile) soit commandant d'armée (ou d'escadre) .

    C'est vrai que le jeu est si riche en choix qu'il est complexe. Mais il y aura toujours quelqu'un, même de la faction ennemie, pour vous donner la solution sur le Forum ou sur Mumble (le vieux dinosaure que je suis ne sait pas s'en servir) . Je crois que maintenant, il y a aussi une possibilité d'aller sur Discord. C'est vraiment un jeu 100 % coopératif ou l'individualisme n'est pas de mise. Ici nous ne cherchons pas à devenir l'as des as mais à faire gagner notre faction. C'est le meilleur jeu en ligne que j'ai connu depuis 13 ans.

    Afin de vous faire envie voici les types d'avions que nous pouvons utiliser :
    - Chasseurs
    - Chasseurs lourd (souvent utilisé pour la chasse de nuit)
    - Chasseurs bombardiers (très peu de pays en ont)
    - Chasseurs embarqués
    - Bombardiers (certains peuvent aussi torpiller)
    - Bombardiers lourds
    - Avion d'attaque (style Stuka)
    - Avion de patrouille maritime (certains peuvent torpiller ou faire des bombardements ASM)
    - Reconnaissance (sert aussi à déposer ou reprendre des commandos derrière les lignes ennemies pour des sabotages, aussi à venir récupérer les pilotes abattus derrière les lignes ennemies)
    - Transport (troupes, carburant munitions jusqu'à un certain calibre, parachutage de troupes, de carburant de munitions, cela évite l'attrition d'unités sans ravitaillement)
    - Aviation embarquée (tous les avions sauf les chasseurs) .
    1 personne a trouvé cette critique utile.
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